Nous avions initié cette série de rencontres documentaires par une plongée dans la réalité de la surveillance, son utilisation par les états contre leurs opposant⋅e⋅s politiques et l’impact personnel de ces technologies sur les citoyen⋅ne⋅s autour du documentaire « Nothing to Hide ». Les discussions ont beaucoup porté sur les moyens de défense, d’esquive et de résistance qu’il est possible de mettre en oeuvre qui, bien que brièvement abordés dans Nothing to Hide, semblent rester limités face aux infrastructures du capitalisme des données.

Un compte-rendu pas du tout en retard : Debrief ciné-débat + planification des prochains films. On était une bonne quinzaine pour cette première projection, pas mal ! On se pose la question sur la mise en place d’une instance Mobilizon mais pour l’instant on a surtout besoin d’un serveur. On a reçu quelques cables Slimline SATA vers USB. Ça coute moins de 3€ pour lire des DVDs avec un lecteur récupéré sur un vieux laptop, branché sur un ordinateur qui n’a pas de lecteur.

Nous inaugurons ces évènements avec le documentaire « Nothing to hide », de Marc Meillassoux et Mihaela Gladovic, qui part du postulat « je n’ai rien à cacher » pour en démontrer la vacuité, questionnant la surveillance et son acceptation par la majorité des citoyen⋅ne⋅s des sociétés contemporaines. cf. Deep Docs Production Le moment d’échange et de discussion suivant la projection est destiné à dépasser le constat dystopique en explorant les moyens d’autodéfense et les alternatives possibles aux modèles mis en place par le marché des données et de leur surveillance.

On a terminé l’installation de LineageOS sur le Oneplus 6 de Kork qui n’avait plus de GPS fonctionnel après une installation qui s’était mal passée. Après l’install’ toujours pas de signal… jusqu’à ce qu’on appuie sur tous les boutons dans GPSTest et bim ! Des satellites partout et un signal GPS en béton \o/ Kholah bosse toujours sur le réseau du lieu et s’est battu contre des switchs inopérants !

À l’ordre du jour… euh non on fait pas trop d’ordre du jour ! Kholah a ramené des choses très sympatiques du sud de la France, à savoir un aspirateur pour aspirer un peu le local (surtout avant que je mette des pois chiches partout), et un gros Yamaha pour faire de la musique sans avoir à comprendre JACK ! Et non ça n’est pas une forme de lacheté assumée, on continue le mardi à se dépatouiller avec JACK !

Au pic de cette permanence on a été… huit, whoah ! Le local faisait vraiment petit cette fois-ci ! Techniquement euh on a continué à wipe des disques de récup et on a configuré des CNAME 😄

En suivant la doc officielle de LMMS on a réussi à faire marcher un clavier pur MIDI avec un adaptateur USB-MIDI de M-AUDIO, woohoo ! Loop du soir LMMS a quelques pistes de démos, des VST et des samples à explorer en installant les bons paquets (dont le nom commence par “lmms” quoi), qui sont en fait quelque part dans /usr/share. Liens et pistes à explorer, notamment sur les bons conseils d’un copain (la suite de ce doc c’est son monologue restructuré en notes pour nous-même haha) :

« du coup comment on met de la musique sur un ordi après avoir installé JACK ?… »

Une ptite permanence à trois dont un collègue curieux où on a surtout papoté notamment autour des logiciels libres, de l’urbanisme dans le 93, de radio et des flux RSS. Des quoi ??? Les flux RSS en 2 minutes C’est une petite brique technologique créée il y a plus de vingt ans et dont le but est de permettre de “s’abonner” à des pages Web ou d’autres types de contenu.

On a installé et configuré les pilotes audio JACK et la carte son. On a clavardé un petit moment avec le Bontempi pendant que ça installait LMMS, Ardour, Hydrogen, Cecilia, Audacity et Mixxx. Un Firefox tout beau tout neuf avec uBlockOrigin Le Bontempi Petite loop de basse faite à l’aide de la MPC Pizza à l’orientale Quelques mousses. Hâte de composer les prochaines drumloops :smile: